Mode d'emploi des documents interactifs
Trois airs par la fanfare de Costică, illustrant une manière motivique de structurer les performances (chap. VI).
Deux sârbe, l'une par la fanfare de Costică, l'autre par Didic. L'exemple illustre l'adaptation d'une mélodie en deux variantes, dont aucune n'est vraiment « première » par rapport à l'autre (chap. VI).
Didic affirme reprendre une bătută de Tâgâdâm (Marius Bogdan) pour en faire une sârbă. Quelques mois plus tard, il s'avère que Florin Tărâţă joue la même mélodie sous le nom de Sârba de la Bârlad. Quel est le parcours de cette mélodie? (chap. VI)
Deux variantes de « la même mélodie » (d'après Costică). Leur comparaison permet notamment d'entendre le traitement de la riturnelă (petit refrain mélodique) par la fanfare. (chap. VIII)
Didic joue une sârbă, qu'il estime « sortie » d'un bluz d'Adi de Vito. Ce bluz ressemble lui-même beaucoup à Besame Mucho de Consuelo Velazquez, et à Careless Whispers de George Michael. Didic arrêta de jouer cette sârbă, après que Beni l'eut exécutée avec brio, lors d'un bal dans le village. (chap. VI)
Par la fanfare de Costică, plage 15 du disque Fanfares paysannes de Moldavie. Illustre la décomposition des mélodies en parties, dont le mètre est parfois élastique (chap. VIII).
Par la fanfare de Costică, plage 6 du disque \emph{Fanfares paysannes de Moldavie}. Illustre la décomposition motivique parfois ambigüe des performances (chap. VIII).
Suite de bătute, avec Costică est au saxophone, Cipi au synthétiseur et Petronel à la batterie. Enregistré par moi durant un mariage. En réécoutant l'enregistrement, Costică releva plusieurs « malices » (chap. X).
Le document permet de suivre une « malice » au sein de cette mélodie de virtuosité. La version instrumentale fut jouée par Costică et quelques membres de sa fanfare, pour un enregistement que nous destinions à un disque promotionnel. Quelque temps plus tard, alors que nous discutions dans sa cuisine, Costică (aidé un peu par Didic) fredonna la même mélodie et en commenta un détail qu'il qualifia de ciorănie (chap. X).
Le document permet de comparer deux versions de la même mélodie, jouées par la même fanfare (chap. V).
Le document permet de comparer deux versions de la même mélodie, jouées par le même saxophoniste (chap. V).
Par Juniorii Lalaru, sur une cassette du marché local. D'après Didic, le clarinettistte se dorlote (se alintă) sur cette mélodie (chap. IV).
Montage visant à illustrer quelques manières usuelles d'entamer une performance (chap. VIII).
Illustre quelques formules habituelles pour « couper » (T.: te cines) l'exécution (chap. VIII).
Une sârba jouée lors du hram de Buruieneşti à l'été 2003 (chap. IX et X).
Jouée par la fanfare de Costică (avec, en invité, l'ifonist Maricel) lors d'un mariage à Zece Prăjini. L'exemple illustre particulièrement les « articulations » des instruments harmoniques (chap. X).
...Ou comment inciter les convives au bacşiş. Manea chantée par Cristi Nucă dans un mariage à Iaşi (chap. IV).
Les documents filmés (18 à 33) sont disponibles uniquement sur le DVD encarté à l'ouvrage.
Si vous ne pouvez vous le procurer, écrivez à l'auteur : rubrique contacts sur www.svictor.net.